lundi 24 octobre 2011

La ballade de l'impossible

Nous avons récemment été au Festival du Nouveau Cinéma à Montréal voir un film intitulé La ballade de l’impossible. Il s’agit d’un film réalisé par  Tran Anh Hung.
J’ai trouvé ce film très intéressant à cause de la complexité des personnages de Watanabe et de Naoko. Ils s’aiment, mais vivent sur des plans tellement différents qu’on ne comprend pas trop pourquoi ils sont ensemble, si ce n’est de leur relation avec Kizuki.
La ligne directrice de ce film était plutôt difficile à suivre au début, mais vers la fin on commence à mieux comprendre qui sont les personnages et quelle est leur utilité dans le récit. Bien sur, le fait que le film soit en japonais sous-titré a rendu la compréhension du film plutôt difficile pour moi, puisque j’avais du mal à suivre les actions tout en lisant les paroles à l’écran.
Autre que l’aspect sexuel du film, certains éléments étaient plutôt étranges et ne semblaient pas vraiment avoir leur place, surtout certains dialogues. Les personnages de Naoko et de Reiko sont mentalement dérangés, mais certaines répliques n’avaient vraiment aucun sens. Il faut dire qu’à force de me concentrer sur les paroles, il est possible que j’aie manqué des éléments importants qui m’auraient éclairés sur ces moments douteux.
J’ai beaucoup apprécié qu’on puisse poser des questions au réalisateur après le film et qu’il nous parle de son œuvre un peu. Ça a rendu le film encore plus intéressant.
J’aime beaucoup voir des films étrangers, je les trouve très enrichissants, chacun à leur manière.

lundi 17 octobre 2011

Festival du Nouveau Cinéma

Dernièrement au cégep nous avons reçu la visite de deux représentants du FNC (Festival du Nouveau Cinéma), qui sont venu nous parler de ce qu'est le festival et de la manière dont les choses fonctionnent pour eux.

J'ai trouvé cela très intéressant puisque, en toute honnêteté, je n'avais jamais entendu parler du FNC. J'ignorais qu'un tel évènement avait lieu à Montréal.

J’aime bien leur façon de fonctionner, surtout le fait qu’ils ne paient pas pour les films qu’ils projettent. Ils n’encouragent pas le mercantilisme dans la distribution des films, ce qui est une idée qui se défend bien. Si tout le monde faisait ainsi, le cinéma, surtout étranger, serait beaucoup plus accessible au public. On se doute pourtant que ça n’arrivera jamais…
Que le public et les gens travaillant dans le milieu du cinéma soient en contact direct comme c’est le cas au FNC me donne très envie d’aller y faire un tour, bien que la nature des films présentés suffise à me convaincre. J’adore rencontrer des gens du milieu, ou même qui ne sont pas du milieu mais qui s’intéressent au cinéma autant sinon plus que moi, donc d’aller dans un endroit pareil serait pour moi une occasion en or.